Étrange enseigne que voilà...

Spoiler:

—Deidara, c'est dommage que tu ne sois pas venu acheter des dessous avec moi, huhuhu~

L'enseigne "Love Hotel" et ses néons m'effraient un peu. L'on rentre.
D'une voix mielleuse, l'hôtesse nous demande quel type de chambre nous souhaitons.
Deidara s'en occupe, une fois qu'il a finit, il se dirige avec une boite dans la main.
Il me donne une carte pour ouvrir la porte.

—D... Deidara, cet hôtel est étrange...

Il ricane. Hmmph.. Chambre 66. J'ouvre la porte. Un gigantesque lit nous accueille. J'attrape l'un des peignoirs et une serviette posée sur le lit et vais me doucher.

Je me déshabille et passe sous la douche...

Elle a pas l'air de connaître ce genre d'hôtel elle va donc découvrir, huhu... On va vers l'hôtesse je m'occupe du choix de la chambre, l'hôtesse me donne une boîte remplis, de préservatif et de la carte qui sert de clef de la chambre. Je lui donne la carte, je la suis silencieusement, on entre, il y a un grand lit, avec plein de drap, comme je les aime, elle ne prend pas le temps d'observer quel saute dans la douche, elle ne m'attend même pas. Je soupir bruyamment. Je m'assois sur le lit, ou plutôt je me couche à moitié et regarde le plafond. elle sort jamais, elle est longue ca va fait 1 heure.

- Kizamu ?

Je finis par sortir... Deidara est allongé sur le lit. Il est entrain de lire un magazine plutôt louche.

—Désolée de t'avoir fait attendre... Je me suis coupée le doigt avec la porte coulissante... Tu peut aller te doucher...

Il jette son magazine au sol, et me regarde.

—Euh... Je... Ma nuisette te dérange ? D-Désolée...

C'est vrai quoi, le tissu est super transparent, je pensais pas qu'il l'était autant. Je prends dans l'un des sacs un gilet en coton. Je m'assieds en tailleur sur le lit et l'enfile.

—Deidara... Je... Enfin, pourquoi avoir prit un lit double ?

Je dois être toute rouge... Il retire sa veste. Hm ?

Elle est longue, pendant ce temps je lis un des magasines qu'il y a sur la table de nuit, hum, bizarre ce truc, mais j'aime bien, y a des filles en fine dentelles dessus. Je ricane silencieusement, la voilà qui sort, elle, je la fixe, la suis même des yeux, ouaw, une nuisette transparente, je sais pas quoi dire là, ça fait beaucoup d'un coup, je balance le magasine par terre. Je la matte, ah elle a remarquer, j'enlève ma veste fait trop chaud, en plus ma...me joue des tour ==", je vais pas essayer de la sauter sinon je crois que j'en ai plus... Elle s'est assise je n'ai même pas remarquer... Je la regarde encore.

- Pourquoi tu mets ce gilet, tu vas avoir chaud.

Je lui caresse la joue et l'embrasse, je l'emporte en dessous de moi la voilà en dessous de moi, j'écarte son gilet, et embrasse au milieu de sa petite poitrine.

- Kiza...mu...

Je lui caresse le long du corps, mais je retire vite ma main.

- Kizamu excuse moi je..voulais pas... Excuse moi...

je me relève tout de suite et m'enferme dans la salle de bain, je me fout de l'eau froide sur la tête. Qu'est ce qui m'a pris, elle a que treize ans puis ça se fait pas, juste à cause de sa nuisette... Je suis trop con, pourquoi j'ai fait ça... Je m'assois sur le rebord de la baignoire, cette hotel, tout....tout ça à cause de sa petite culotte...et maintenant à cause de sa nuisette. Mais je l'aime, j'y peut rien...

Ah... Je ne comprends rien... Il m'inquiète. Je prends les serviettes et son peignoir et frappe à la porte de la salle de bain. J'entends l'eau couler... Cela m'inquiète un peu, je ne l'entends pas bouger.

—Deidara... Je... Je peux rentrer ?

Pas de réponse. Je re-frappe. Toujours rien. Tant pis, j'ouvre quand même.

—Tiens, de quoi te sèch- Ah... Ne laisse pas l'eau te couler dessus...

Je pose le nécessaire sur une commode et referme le robinet... L'eau est glacée ?

—Ce... c'est une habitude de te laver tout habillé ? Je ne comprends pas ce que tu as ce soir... c'est de ma faute ?

Il reste indifférent, assis sur son rebord de baignoire.

—Bon, tu l'auras voulu...

Je lui enlève sa chemise. Rien.

—Tu pourrais faire un effort, quand même...

Je lui retire son pantalon.

—Bon, pour le reste tu te débrouilles, hein.

Je lui caresse la joue et l'embrasse sur le front.

—Sache que je ferai de tout mon possible pour te rendre heureux.

Je me retourne, heureuse et repars dans la chambre. Bon, ils ont quoi ces humains à la télé ?

Elle toque,, je réponds pas j'ai peur qu'elle se fâche contre moi après ce que je viens de faire, je cache mon visage, elle toque de nouveau, et entre même si je en réponds pas. Elle pose des serviettes et un peignoir sur la commode mais je ne réagis pas, elle ferme l'eau aussi. Elle me parle mais, je reste sans rien faire ni rien dire, je suis vide... Elle me déshabille, je ne buge pas d'un poil... Je suis trop con... J'ai l'air d'un vrai pantin là...

Elle embrasse mon front et repars en me disant quelque chose. Me rendre heureux? Qu'elle dit... Je baisse la tête, et reste immobile pendant au moins une bonne heure. C'est comme si je n'étais rien, je suis trop vide, je me sens pas bien du tout. Je décide enfin à me lever et enlève mon caleçon. Elle a rien vu, hein... Je met l'eau en route et la rêgle au plus froid possible, je m'appuis sur le mur et baisse la tête laissant couler l'eau, je finit par me laver, je me rince et sort je met mon peignoir et essuis mes cheveu avec la serviette... Je m'assis sur le bord de la baignoir et ne rebouge plus, je reste immobile et toujours aussi siencieux... Pendant une bonne heure encore...

Kizamu regarde la télé. J'ai pas envie de m'habiller et reste en paignoire, Je me lève, et ouvre la porte lentement pour aller m'assoir sur le lit toujours sans aucun bruit. Je regarde Kizamu, elle a l'air paisible. Elle est gentille. Je veux... pouvoir l'avoir avec moi tout le temps...

Je me lève et vais contre elle, la sert fort contre moi.

- Pardon Kizamu...

Beuh... il met du temps à se laver... Hmm... cette émission est vraiment bête. En plus il est tard, deux heures.

Il finit par sortir de la salle de bain et me prend dans ses bras. J'éteins la télé.

—Deidara... tu n'as pas à t'excuser encore, tu l'es déjà.

C... C'est moi ou les rôles sont inversés ? Je relève la tête et l'embrasse dans le cou.

—Dormons... je suis fatiguée.

Il se cale dans le lit et je me blottis contre lui. Mes paupières sont si lourdes... La chaleur de son corps est si douce... Je l'embrasse sur la joue et m'endors.

[Le lendemain matin]

La lueur du soleil m'effleure le visage. Qu-Quelle heure est il ? Dix heures... Deidara dort, paisible...

Ça me rappelle... Je lui ai promis de faire "n'importe quoi". Huhuhu. Un air malin se dessine sur mon visage.

Hmm. Dans l'une des armoires, je trouve une tenue de maid. Et si ? Discrètement, je l'enfile et je m'assois en tailleur sur le torse de Deidara...

Je l'embrasse sur le nez.

—Debout~ Il est dix heures~ Je t'avais promis de faire tout ce que tu veux.

Elle veut dormir, je la lâche et me couche dans le lit, elle se met contre moi, je met mes bras autour, d'elle elle s'endort vite, moi je reste éveillé j'arrive pas à dormir, mais c'est trop calme, je ferme les yeux, faut que je dorme, je laisse Morphée me prendre. Je finis donc par m'endormir, elle est froide.

Lendemain matin.

Je dors profondément mais je sans un baiser sur mon nez ce qui me réveille, Kizamu....Que?! Je la regarde pire que rouge. Ou est ce qu'elle a trouver ces fringues. Je la regarde. Putain c'est sexy...

- Euh... Je...Sais pas quoi te dire...

Je me tiens au drap du matelas tellement j'en reviens pas. Je sais pas comment réagir. Puis je finis par l'embrasser. Je passe ma main dans ses cheveux. Je l'embrasse aussitôt sur la joue.

Il m'embrasse.

—Deidara.... Je... Je ne sais pas comment faire mais... Hmm...

Je réfléchis. Comment faire pour le "satisfaire" ?

—Tu as faim ? Tu veux sortir ? Que souhaitez-vous, maître ?

Je me juche à sa droite, prête à le servir... au fond ça m'amuse. Mais, j'y vais peut-être trop fort, encore... Je le regarde, avec une mine sérieuse... Je... Hmmph.

Il éclate de rire... Hein... Moi aussi.

Je comprends pas trop ce qu'on fait, Elle se met a coter comme une servante et me regarde sérieusement, on reste silencieux deux minutes puis on se met à rire, pour dire c'est vachement drôle, je vois pas pourquoi on fait ca,

- Hum, oublis ce que j'ai dit hier, c'était con.

Je lui souris et la rembrasse.

- tu veux faire quoi?

Moi j'en sais rien, je sais pas quoi faire j'ai rien envie de faire moi...

—Pas de problèmes, tu le sais.

Il se relève et enlève son peignoir... Il... est nuuuuu ! Je détourne la tête.

—D... Deidara... Je... euh... Je vais sortir un peu... Tu... me rejoins devant l'hôtel quand tu auras fini... J'ai faim... Je mangerai bien un bout....

Sans me retourner, je prends un sac et un peu d'argent, puis je sors et referme la porte.

—Ouf...
??? : Hep, mad'moiselle !

Un garçon m'interpelle. Oh noon...

—Oui?
??? : Sympa le cosplay de maid... ton client aime bien ça, hein ?

Hein, il veut dire quoi par là ? Le garçon m'attrape par le menton.

??? : Dis moi, tu es plutôt mignonne... Tu payes combien de l'heure ?

Je lui fous un coup de pied dans le ventre. Tenace, il se relève et m'attrape à la gorge.

??? : Alors...? Tu sais, tu n'as pas à t'en faire. Enfin, juste un peu...
—Lâche moi !

Z... Zut... Je peux pas me battre ou révéler mes pouvoirs, ici, en plus parmi des humains ! Dei... Deidara... Au secours !

Je reste immobile deux secondes puis enlève mon peignoir, je suis à poiles, elle rougit et détourne tout de suite la tête, je soupire discrètement, elle sort et me dit de la rejoindre en bas. Elle sort ensuite, je cherche mon caleçon, je l'enfile, je fais ça avec ma chemise que je ne ferme pas et je ferme mon pantalon, je prend ma veste sur mon épaule. J'entends du bruit devant la porte, qu'est ce qu'il se passe. J'entends des coups comme des bagarres, Kizamu?... merde qu'est ce qu'il se passe, bordel, je sort de la chambre et en voix un qui la tiens par la gorge, ça me fout en colère, à quoi il pense celui là.

- Lâche ma femme, ou je vais te tuer.
??: Tss, tu crois me faire peur avec t'es petit muscle de femmelette?
- Hmm...

Je l'attrape par les cheveux et lui fout un coup de poing dans la figure je le lâche tout de suite pour le laisser voler plus loin. Je regarde Kizamu.

- Ca va ?

Je vais vers le gars qui crache du sang par terre et se relève toujours aussi tenace. il me lance un coup de poing mais je ne le reçois pas, je lui tiens le poignet et le retourne ce qui le fait tomber par terre. Et si je lui tordais?

- Qui est une femmelette déjà?

Je l'attrape par le col et le balance contre le mur.

- Si tu oses encore l'approcher ou même lui adresser un regard je te tue, compris ?
?? : Connard... Lâche moi !
- J'ai pas bien entendu...
?? : C'est bon j'ai compris... maintenant lâche moi sale pd!
- Tss...

Je le lance par terre et prend Kizamu par la main on descend.

- tu veux aller manger ou?

Je lui souris puis l'embrasse sur la joue.

- Pardon pour tout à l'heure.

—Je... Merci...

Un instant, je baisse les yeux.

—Tu veux manger de la viande...? Je crois qu'il y'a un restaurant de grillades pas loin...

Il hoche la tête, un sourire aux lèvres.

L'on descend les marches, et nous passons devant l'hôtesse qui lance un regard langoureux à Deidi.

Je presse le pas et agrippe sa manche. L'on sort.

Le soleil du matin effleure mon visage.

??? : Scrrsh... Crac.

Je détourne la tête à droite... à gauche en cherchant l'origine du bruit.

—Ce... c'est quoi ce bruit ?

Il se retourne, les mains dans les poches et se dirige vers le restaurant... Je le rattrape et pousse la porte de l'établissement.

C'est petit, mais coquet. Une douce odeur émane des cuisines. Quelques clients sont déjà installés.

Une serveuse à la mine palote nous accueille et nous place à une table...

Elle me propose d'aller manger de la viande ce qui me fait rire, je souris et hoche la tête pour lui dire oui. On descend vers la sorti de l'hôtel, l'hôtesse me regarde sensuellement, je détourne le regard avec quelque rougeur sur les joue, cela vexe Kizamu qui me tire par la manche, elle est jalouse ? On finis par sortir, on entends un bruit Kizamu cherche d'où sa vient mais je n'y fais pas attention, les mains dans le poche je me retourne, on va dans le resto, qui est riquiqui je me sens serré la dedans.

Une serveuse arrive, avec une jupe rouge à carreaux écossais, et un décolleté assez grand, je fixe, Kizamu me file un coup de pied. On s'assoie à la table, cachant mes pied derrière ma chaise, la serveuse se penche pour nous donner les carte, ce qui force mes yeux à entrer dans on décolleté. Sexy... Kizamu me fait un regard noir. J'y peut rien, je suis un homme moi...

- T'es jalouse ?

Je matte ma carte et cherche quelque chose qui me donne envie - je veux du sang pas de la viandes - Bon une entrecôte saignant fera l'affaire... Je déshabille du regard Kizamu qui boude. Je ris tout doucement.

—Nan, chuis pas jalouse.

Enfin, si. C'est pas de ma faute si j'ai pas de formes...
Hmph.
Je consulte le menu et choisit un assortiment de brochettes.
De la main, j'appelle la serveuse.

Deidara fait son choix, une entrecôte et une carafe d'eau.

—Pour moi... Un assortiment de brochettes et un verre de vin rouge, je vous prie.

Deidara grogne. Hmph. Il veut aller se laver les mains, et se dirige vers les toilettes "homme". Étrangement, la serveuse de tout à l'heure le suit. Cela attire mon intention... Grrr. Il en met du temps à revenir...

??? : Mademoiselle ?
—QUOI !?

Le jeune serveur, qui était venu servir les deux plats sursaute.

—Je... euh, pardon.
Serveur : Ce n'est pas grave. Voici vos brochettes. Je pose où l'entrecôte ?
—En face. Merci.

Il esquisse un sourire; pose les plats et les boissons puis se retourne.
Toujours pas de Deidara.
Excédée, je plante mes crocs dans l'une des brochettes, et arrache la viande.

"Si t'es jalouse" j'ai envie de lui dire mais je me tais, la serveuse reviens après avoir été appelé pas Kizamu qui boude encore. Elle commande du vin ce qui me fais grogner, je hais l'alcool, je hais ça depuis que mon père m'a bruler avec... Tiens, je me suis pas laver les mains...Je me lève.

- Je vais me laver les mains...

Je me dirige vers les toilettes, je me sens suivis, j'entre dans les toilettes pour hommes, je vois la serveuse derrière la glace avec un poignard dans la main. Je me retourne et lui attrape le poignet violemment et la plaque contre le mur. Elle se débat et me shoot dans les couilles, je me plis en deux sous la douleur elle en profite pour essayer de me poignarder mes je lui fout vite mon poing dans la figure, elle vole à travers les chiottes.

- Qu'est ce que tu me veux?
?? : C'est impossible, tu ne peux pas survivre...

Elle a une voix de mort vivant, elle fait peur, je la tiens par le cou et sert assez fort pour l'étouffer.

- Qu'est ce que tu veux? Répond!
??: Tu dois mouriiir... Donne moi ta chair...

Fais froid dans le dos s'te meuf, mais elle est pas drôle, je la jette au milieu du resto.
- Tu veux, ma chair? et pour quoi faire? Pour faire vos Brochette c'est ça?

Je la regarde de haut. On dirait vraiment un zombie c'te fille...

- Bon... J'te laisse en vie mais la prochaine fois ça risque de mal tournée, surtout que t m'a quand même shooter dans les couilles...

je vais vers Kizamu qu'a pas l'air très contente, je pique ma fourchette assez violemment dans mon entrecôte. Je grogne.

- Si tu crois qu'elle me faisait des avances tu te trompes...

—Hmm...

Je l'attrape par le menton et l'embrasse assez fort pour qu'il sente que j'étais en rogne.

—C'est bon, il n'y a pas le gout dégueulasse d'un de ses gloss à la con sur tes lèvres.

J'entame une seconde brochette. La viande a un gout d'humain. Sa veste est froissée.

—Deidi, tu t'es battu ? Et puis, merde... Cette viande est dégueulasse. Elle a un gout d'humain.

Il écarquille les yeux. Je finis mon vin.

—Je vais voir le chef... enfin, si c'en est un.

Du regard, je cherche le mignon petit serveur de tout à l'heure. Lui, il avait l'air normal. Il n'est plus là.

Je me lève et me dirige en direction des cuisines, Deidara me suit.

—Il y a... Du sang, du sang humain...

Je défonce la porte de la cuisine.

Tout est minutieusement rangé. Trois cuisiniers qui s'affairaient alors se sont stoppés, surpris de notre arrivée.

Mais la cuisine a quelque chose de différent. Au centre de la pièce blanche, une chaise en inox trône, avec le serveur de tout à l'heure dessus. Au sol, un pentacle.
Derrière, une chose immonde, comme un ver avec une toque de cuisiner.

—Deidara. Ce truc là bas. C'est le chef cuisiner "Saarab". Il est connu pour avoir tué plus de 900 victimes pour des actes de cannibalisme... Normalement, il est assisté d'une jeune el...

Un couteau acéré sort subitement pour nous attaquer de la fumée dégagée par les marmites. Je l'esquive... C'est elle.

Elle fait toujours la gueule, elle m'embrasse assez violemment, je ravale ma salive, elle y va fort quand même. Elle se sépare enfin de mes lèvres et elle rétorque qu'il n'y a pas de gloss, elle est aller croire que je voulais sauter l'autre zombie? Et ben, c'est pas mon genre, elle sais très bien que je préfère les hommes de toute façon. Je coupe un morceau de la viande, je l'a croque, ça a pas un goût de bœuf, ça sent l'humain à plein nez. je recrache le morceau, elle l'a remarquer aussi, elle me demande si je me suis battue, bah, un peu quand même, j'ai failli plus avoir de couilles aussi....

- Hmm.

ça me dégoute, elle cherche quelque chose, moi j'essaye d'enlever le sale goût d'humain de ma bouche. Elle se lève et se dirige vers la cuisine, qu'est ce qu'elle me prépare encore... Je me lève et la suis, on entre après qu'elle ai défoncé la porte. Ça sent le sang, ce qui me donne faim, bordel, c'est pas le moment, mes dents que j'avais rentrées ressortent et dépasse de ma bouche. Je cache avec un doigt. Je regarde la cuisine, elle est bien trop propre. C'est dégoutant. Si j'étais qu'une simple humain j'aurais fini sur le grill. Pfff. Je regarde un peu partout et un étrange truc gluant y est placer, c'est quoi ça? Je regarde cet immonde chose avec dégout.
Kizamu en sait des chposes. Saarab, c'est ça. Cannibal, c'est un ver ce truc... L'autre zombie sort de nul part je rattrape son couteau avec deux doigt et le brise, j'attrape le poignet de ce mort vivant et je la lance contre le mur. Je sort mon kkatana de la main et lui transperce le coeur avec, j'ai pas envie de me salire les main aujourd'hui. ELle tombe à terre, Je sais pas ce que fait Kizamu, je la vois qui se bat avec le ver, elle a l'air de s'amuser.

Deidara se met à l'attaque. Amusant.

—Puisque c'est ainsi, moi je m'occupe du gros.

Je fonce sur Saarab, mon hachoir préféré à la mai, et lui plante dans son unique oeil. Celui pousse un cri strident et crache un liquide vert et gluant à l'odeur infecte sur le sol. Je glisse dessus et me cogne la tête contre une desserte en acier. Très vite, je reprends mes esprits et me relève, en vacillant. Zut. Je saigne. Saarab a détecté mon odeur et fond sur moi, libérant quelques asticots au passage. Je sens des millions de ventouses sur mon bras gauche... et merde. Je retire mon bras de la gueule du ver mutant. Mes muscles sont à vif et sont légèrement rongés : il a dévoré toute ma peau et commençait à s'attaquer à mes muscles et mes nerfs. Mon bras refuse de d'obéir : tant pis. D'un coup sec, je le tranche au niveau du coude. De toutes façons, il repoussera.

Je sors mes griffes et cisaille de coups le monstre, qui s'écroule au sol, inerte.

Soudainement, je sens sur ma tempe quelque chose de froid. Je détourne le regard, c'est elle. Akoya, l'elfe. Elle me braque un pistolet anti-vampires sur la tempe, tremblante. Un fou rire s'empare de moi.

—Voyons, ce n'est pas ici que l'on doit viser.

En un mouvement très lent, je plie le pistolet en deux.

Elle hurle. Je lui flanque un coup de pied dans le ventre, ce qui l'a fait voltiger à travers de la cuisine. Elle atterrit aux pieds de Deidara.

—Fais en ce que tu voudras, après tout, c'est une elfe de bas étage, et ce n'est qu'une coïncidence si elle fait équipe avec ce... truc.

Je fous un coup dans la dépouille du ver et me dirige vers l'humain qui somnole et passe ma main sur son front pour lui faire oublier tout ça. Je murmure quelques formules à son oreille et le porte sur mon dos pour le ramener dans la salle de réception, vidée de tous ses clients.

Je la finis, et la jette comme si c'était une merde ( s'en ai une. ) Ah, c'est quoi cette odeur, je me bouche le nez c'est écœurant. Je regarde d'où ça vient, c'est du ver, c'est dégueulasse c'est tout ver, Kizamu l'a mis en charpies, dégoutant. Vraiment dégoutant. Je soupire, et pense à autre chose, puis voilà une elfe qui lui met un flingue sur la tempe, mais elle n'a pas le temps de faire quoi que ce soit qu'elle voltige déjà pour finir sur mes pieds, je la regarde avec méchanceté. Qu'est ce que je vais en faire j'ai pas envie de la tue, pourquoi pas en faire un jouet. Je l'attrape par le col et lui arrache l'arme des mains.

- Veux tu vivre ?
...: Lâchez moi! Sale monstre !
- Monstre ?

Je me retourne vers Kizamu.

- j'ai l'air d'un monstre moi?

Je soupire et la lance de l'autre côté de la cuisine, toutes les casserole lui tombent sur la tête. Elle est assommé.

... : oh...aie...

Elle est dans un salle état. Hm...

L'humain ne se réveille pas. Hmm. Je retourne voir Deidara. Il lime un couteau.

—Tu t'amuses, mon chou ?

Il lance le couteau sur un mur. Il s'y plante comme une fléchette, puis il s'accroupit à coté de l'elfe.

Akoya : Dégagez... Sales monstres...

Il pose sa main sur son cou.

—Deidi, tu as si faim ?

Je pose mes mains sur ses épaules.

—Le sang des elfes est réputé pour avoir un goût étrange... Je crois que plus il est noble mieux c'est...

Je m'appuie sur son dos et tend mon bras vers les oreilles de l'elfe pour les tirer... Ça m'amuse, un rire de gamine s'empare de moi. Je suis débile. Elle me dévisage, ne comprenant plus rien.

Je joue avec un couteau et l'aiguise soigneusement, je le lance sur le mure comme si je visait une cible, Kizamu me demande un truc mais je en l'écoute pas depuis un moment, j'ai trop faim pour penser à l'écouter, humpf, et voilà que l'elfe me traite encore une fois de monstre, je suis pas un monstre, je suis juste un vampire qui a faim *big smile* hmm... Je lui touche le cou, j'ai vraiment faim et voilà que Kizamu me dérange, j'aime pas quand on me dérange quand je m'apprête à manger mon repas... humpf... Elle est énervante la voilà qui tire les oreilles de l'lfe, je lui fait un regard noir, en plus elle rigole comme une gamine, elle va me rendre de mauvaise humeur, moi j'ai faim... Je soupire assez bruyemment, Kizamu s'arrête enfin et me fait un grand sourire, je la regarde agasser, puis j'attrape l'elfe par le menton et lui mort le cou assez durement, je ne fais pas ça avec douceur, mes crorcs sont trop sortit pour que je me retienne. Je bois son liquide rouge qui descend dans ma gorge, c'est bizarre le goût, mais son arrière goût est esquis... J'arrête de boire l'elfe tombe dans les vappes, "oups" ?

- Hmm...

Je soupire et regarde vers la porte...

Pendant que Deidara se délecte du sang elfique, je trace des pentacles au sol à l'aide d'un peu de mon sang.

—Dei', tu as fini ?

Du regard, il acquiesce.

—Débarrassons-nous des corps et de toutes les preuves... Va voir l'humain et porte-le sur ton dos, je le réveillerai plus tard. Je vais tout faire péter. Art is a bang !

Il rit et sort de la salle...

D'un coup sec, je fais tomber les casseroles accrochées aux murs, arrache les armoires métalliques et les lourds frigidaires, puis trace à nouveau des pentacles.

Je murmure quelques formules d'une langue trop ancienne et sors de la pièce.

—Allez, on vire !

Deidara porte le serveur sur son dos. J'ouvre la porte du restaurant, il passe après moi et la referme. Je trace un cercle invisible avec ma main.

Soudainement, le bâtiment explose et se métamorphose en... une vieille usine délabrée; sa vraie apparence.

—Parfait. On doit déposer ce serveur quelque part, mais où ? Et puis, il faut soigner mon bras...